Le tragique et l’universel

« En ayant recours à des structures de récit classiques, aux ressorts de la tragédie et en menant un véritable travail de création et non de simple récit de ses souvenirs, Pierre Schoendoerffer permet à ses films de revêtir une dimension artistique pérenne. Il introduit ainsi dans le cinéma des figures guerrières […] qui réunissent les héritages médiévaux et républicains, et touche ainsi à l’universel. » (p.269)